Archives mensuelles : septembre 2022

Blood Sweat & Tears

On pourrait croire qu’utiliser un logiciel de sauvegarde permet de restaurer les fichiers. Et bien non, ce serait bien trop simple.

Cela dit, aujourd’hui, après une semaine de jus d’éponge, le neurone entre les oreilles aura vaincu, j’ai réussi, la preuve. 

En fait quelque soit l’environnement choisi, la partie finale de la restauration partait dans une boucle, aucun message d’erreur.

En appliquant la devise Shadok rappelée ci-dessous, j’ai enfin réussi, un MIRACLE.

Soyez tous bienvenus dans mon nouvel-ancien BLOG.

Who says that compatible systems are not?

Easy, Murphy does.

The server in the Data-Center crashed, luckly I had Backups. The Restore used to work, but when I reinstalled a new config, it did not.

Made many tries. They all failed. But the more your fail, in the long run, you finally find a way out to Paradise.

The BLOG is back, I deserve a drink.

()

Ostalgie

19 septembre 2022

 
Où se trouve le Leica

En novembre 1989 le Mur de Berlin est tombé. Depuis Portland Oregon où je subissais un stage de formation je l’ai vu tomber et je m’en réjouissais.

Je m’en réjouissais mais pas pour moi, je pensais à ma famille restée en Tchécoslovaquie qui rêvait de Liberté, d’économie de marché, de voyages. Avec eux, bien avant la chute du mur, nous en avions déjà parlé, ils pensaient le mur inamovible, définitif. Ils nous enviaient pour notre liberté d’expression et de voyage, pour l’abondance des biens disponibles, pour notre apparent niveau de vie.

Si dans le monde occidental des pays riches, Europe, USA, le principal problème des classes dites moyennes était l’arbitrage des dépenses pour satisfaire au mieux les envies face à une offre pléthorique, de l’autre côté du mur, dans la monotonie de la vie, face aux étagères des magasins souvent vides, l’absence de tentations consuméristes rendait l’épargne facile.

En fait, à l’Est, on vivotait, petits logements, cuisines et salles de bain partagées, ce qui manquait en biens matériels se voyait remplacé par une vie sociale structurée, Théâtres, Opéras, Bibliothèques mais aussi activités de loisir d’entreprise organisées par les syndicats auxquels tous se devaient d’adhérer.

Une vie calibrée, simple, prévisible. Mais chacun exige de pouvoir disposer, même en dictature, d’espaces de liberté. Et dans les pays de l’Europe communiste, ces espaces existaient. La photographie en était, elle offrait à chacun de pouvoir figer à tout jamais d’heureux moments et de pouvoir les revivre à la demande.

A la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, les soviétiques, en se payant sur la bête, avaient confisqué les outillages des usines d’appareils photographiques et les avaient remontés en URSS. Ces appareils photo, bien que relativement onéreux, grâce à l’épargne forcée, trouvaient preneur. Aujourd’hui, pour cause de révolution numérique dans la photographie, ces objets d’anciens désirs se retrouvent bradés sur les étagères de magasins spécialisés dans la brocante.

Si je disposais déjà d’une jolie petite collection d’appareils photo anciens, lors de mes deux derniers voyages en Hongrie, j’ai complété ma collection avec deux plagiats, l’un de Leica, l’autre de Zeiss. A ces deux plagiats j’ai ajouté une paire d’appareils inspirés, pas copiés, de Leica.

Sauriez-vous trier le bon grain de l’ivraie et nommer ces objets d’anciens désirs ? Par un sans-fautes, vous gagnerez le Gros Lot de mon admiration, sinon, consolez-vous, ma connaissance de ces pépites est à la fois fort récente et totalement superficielle.

Enfin, pour conclure, que vient faire dans le titre le mot Ostalgie ? L’Ostalgie est un néologisme euphonique qui se rapporte à la Nostalgie, sentiment qui se retrouve souvent chez les anciens mais surtout chez les jeunes qui idéalisent ce qu’était la vie derrière le Rideau de Fer en oubliant les manques et privations.

Vu d’aujourd’hui, on pourra caractériser le désir de basculement de la vie d’avant 1989 vers la société de consommation et gaspillage, par cette sentence en forme d’aphorisme :
“L’avenir, c’était mieux avant.”

In November 1989 the Berlin Wall fell. From Portland Oregon where I was undergoing a training course I saw it fall and I was delighted. 

I was glad but not for myself, I was thinking of my family in Czechoslovakia who dreamed of Freedom, market economy, travel. With them, long before the fall of the wall, we had already talked about it, they thought the wall permanent, permanent. They envied us for our freedom of expression and travel, for the abundance of goods available, for our apparent standard of living.

If in the western world of the rich countries, Europe, USA, the main problem of the so-called middle classes was the arbitrage of the expenses to satisfy the desires in the best face of a plethora supply, on the other side of the wall, in the monotony of life, Facing the shelves of often empty stores, the absence of consumer temptations made saving easy. 

In fact, in the East, we were living in small dwellings, kitchens and shared bathrooms, what was lacking in material goods was replaced by a structured social life, Theatres, Operas, Libraries but also corporate leisure activities organized by the unions to which all had to belong.

A calibrated life, simple, predictable. But everyone demands to be able to have, even in dictatorship, spaces of freedom. And in the countries of communist Europe, these spaces existed. Photography was, it offered everyone to be able to freeze forever happy moments and to be able to relive them on demand.

At the end of World War II, the Soviets, had confiscated the tools of the camera factories and brought them back to the USSR. These cameras, although relatively expensive, thanks to forced savings, found takers. Today, because of the digital revolution in photography, these objects of old desires are sold on the shelves of shops specialized in flea markets.

If I already had a nice little collection of old cameras, during my last two trips to Hungary, I added to my collection two plagiarisms, one from Leica and the other from Zeiss. To these two plagiarisms I added a pair of devices inspired, not copied, by Leica.

Do you know how to sort the wheat from the chaff and name these objects of old desires? By a no-fault, you will win the Jackpot of my admiration, otherwise, console yourself, my knowledge of these nuggets is at the same time very recent and totally superficial.

Finally, to conclude, what does the word Ostalgia do in the title? Ostalgia is a euphonic neologism that refers to Nostalgia, a sentiment that is often found in the ancients but especially among the young who idealize what life was like behind the Iron Curtain by forgetting the shortcomings and privations.

From today’s point of view, we can characterize the desire for a change of life from before 1989 towards a society of consumption and waste, with this sentence in the form of aphorism:
“The future was better before.”

()

Putine Héros des Khmers Verts

18 septembre 2022

 

Sachant que l’automobile est l’ennemi ultime de l’humanité, de la terre et de façon plus large de la galaxie, dans un élan vertueux anti-nazi, Josef Putaline a lancé une victorieuse opération militaire spéciale contre le repaire des criminels ukrainiens.

Cette victorieuse opération aura deux conséquences bénéfiques. La première est de démontrer que l’éthique démocratique du  gouvernement russe se retrouve sur le terrain des opérations. La seconde, cette dernière rend grâce aux Khmers Verts, les glorieux autophobes, devant les succès russes, la communauté des agresseurs soit-disant démocrates, doit se plier à l’annulation du crime pollueur majeur, le Grand Prix de F1 de Russie.

Enfin une immense victoire pour sauver la planète du réchauffement global.

Knowing that the automobile is the ultimate enemy of humanity, the earth and the galaxy in a broader way, in a virtuous anti-Nazi impulse, Josef Putaline launched a victorious special military operation against the den of Ukrainian criminals.

This victorious operation will have two beneficial consequences. The first is to demonstrate that the democratic ethics of the Russian government are found in the field of operations. The second, the latter gives thanks to the Khmer Greens, the glorious autophobes, in front of the Russian successes, the community of so-called democratic aggressors, must bow to the cancellation of the major polluting crime, the Russian F1 Grand Prix.

Finally a huge victory to save the planet from global warming.

()

Voyage en Société

17 septembre 2022

 

Habituellement, lorsque je prends l’avion ou lorsque je reviens de voyage, mon moyen de transport préféré pour rejoindre ou quitter l’aéroport est le train. Sauf incident majeur, les durées de transport sont garanties, le coût minimal, j’habite à proximité d’une gare qui dessert les deux aéroports qui disposent d’une gare : une situation idéale aussi longtemps que tout se déroule comme prévu.

Sauf que parfois, la machine se grippe. Cette fois le grain de sable est une grêve du controle aérien.

Parti de Paris avec deux heures de retard, en attente de plan de vol, l’avion aura quitté Budapest avec trois heures de retard. Arrivée à Paris une fois le dernier train parti. Restait deux solution pour rentrer à la maison, le taxi ou les bus nocturnes. Le taxi étant rare et cher, il restait le bus.

Usually, when I get on a plane or when I come back from a trip, my favourite way to get to or from the airport is by train. Unless there is a major incident, transport times are guaranteed, the cost is minimal. As I live near a station that serves the two major Paris airports that have a station: an ideal situation as long as everything goes as planned.

Sometimes Murphy’s law strikes.
For my last trip, it was the case.
An air trafic controler strike created schedule havoc.

The plane left Paris two hours behind schedule. Waiting for a flight plan, the plane left Budapest three hours late. Once in Paris, after lugage delivery, the last train had left. There were two options for getting home, taxi or night buses. Taxis were rare and expensive, so there was still the bus.

Ascenceur, Niveau 5, miracle les bus attendent les voyageurs.

J’achète un ticket, 4€, pas de billet, juste un reçu, destination unique, la Gare de l’Est. Les voyageurs sont pour une moité des passagers d’avion, pour l’autre des employés ayant terminé leur journée. Tous silencieux, certains fatigués, d’autres clairement épuisés.

Il est près de 2 heures du matin, le bus ratisse la zone de fret, rejoint l’autoroute, récolte dans la zone industrielle de Saint Denis une brigade d’employés DHL tous noirs, passage par la porte de la Chapelle, quelques voyageurs embarquent, un court arrêt Gare du Nord, un unique taxi en maraude semble attendre le client, je choisis de rester dans le bus, enfin Gare de l’Est, tous descendent.

 

Elevator, Level 5, miracle buses are waiting for passengers.

I buy a ticket, 4€, no ticket, just a receipt, unique destination, the Gare de l’Est. Half of the passengers are air passengers, while the other half are employees who have completed their day. All silent, some tired, others clearly exhausted.

It’s almost 2:00 in the morning, the bus sweeps the cargo area, joins the highway, harvests in the industrial area of Saint Denis a brigade of DHL employees all black, passage through la Porte de la Chapelle to enter Paris, some travelers board, a short stop Gare du Nord, a single taxi seems to wait for the client, a risky choice, I choose to stay on the bus, finally Gare de l’Est, all get off.

Sorti du bus, ma valise à la main, je ne sais comment poursuivre mon voyage. Pas de taxis en vue, hors de propos de marcher jusqu’à la maison. Je me sens un rien perdu. 

Perdu, certes mais pas seul. La place devant la Gare de l’Est ressemble à un immense terminal où les bus, prêts à partir, attendent les voyageurs. De nombreux bus, oui, mais lequel. A proximité d’un îlot central, trois employés de la RATP discutent. Lorsque je les interroge sur le meilleur moyen de rejoindre Bourg la Reine, la réponse fuse, instantanée, prendre le bus N14, même trottoir à 50 mètres d’ici.

L’information est précise, il y a un arrêt marqué N14, j’y rejoins un Africain, ensemble, silencieusement nous attendons. Nous n’attendrons que 5 minutes, le bus se présente, afin de payer mon voyage, je signale au chauffeur que je n’ai pas de ticket. Avec l’amabilité d’une porte de prison, il m’informe qu’il n’en a pas non plus. Il est déjà 3 heures du matin, je ne vais pas négocier, sans titre de transport, je me prends place, debout, ma valise entre les jambes, calé contre une barre. Toutes les places assises du bus sont occupées, une jeune fille d’un groupe anglophone me propose sa place, je décline, les voyageurs sont plutôt jeunes, des deux sexes. Le chauffeur conduit son bus comme s’il courait le Paris Dakar, brutal. Chacun des voyageurs debout tente de garder son équilibre en s’agrippant aux poignées de barres disponibles.

Out of the bus, with my suitcase in my hand, I don’t know how to continue my journey. No cabs in vehicles, out of the question to walk home. I feel a little lost. 

Lost, of course, but not alone. The square in front of the Gare de l’Est looks like a huge terminal where buses, ready to go, wait for passengers. Many buses, yes, but which one. Near a central island, three RATP employees discuss. When I ask them about the best way to reach Bourg la Reine, the answer is instant, take the N14 bus, even on the sidewalk 50 metres from here.

The information is accurate, there is a stop marked N14, I join an African, together, silently we wait. We will only wait 5 minutes, the bus arrives, in order to pay for my trip, I tell the driver that I have no ticket. With the courtesy of a prison door, he informs me he doesn’t have one either. It’s already 3 o’clock in the morning, I’m not going to negotiate, without a ticket, I take my place, standing, my suitcase between my legs, set against a bar. All the seats of the bus are occupied, a young girl of an anglophone group offers me her place, I decline, the travelers are rather young, both sexes. The driver drives his bus as if he were running the brutal Paris Dakar. Each of the standing travelers tries to keep their balance by grasping the handles of available bars.

Les voyageurs montent et descendent du bus et alors que nous arrivons sur Châtelet, un groupe de contrôleurs de la RATP déguisés en Tortues Ninja bloquent les issues et demandent les billets. Chacun présente qui son passe Navigo, qui son ticket. Je me sens pris en faute, je n’ai pas de billet, pas de titre de transport, tout juste le reçu du premier bus.

The passengers get on and off the bus and as we arrive on Châtelet, a group of RATP controllers disguised as a DEA SWAT team block the exits and ask for the tickets. Each presents who his Navigo pass, who his ticket. I feel like I’m at fault, I don’t have a ticket, I don’t have a Pass, I don’t have any travel document, I just got the receipt from the first bus.

En désespoir de cause, afin de prouver ma bonne foi, je montre le reçu du premier bus prêt à lui expliquer que le chauffeur du second bus a refusé de me vendre un ticket. Le type sourit et à mon plus grand étonnement, avant même que je ne lui fournisse la moindre explication, passe au voyageur suivant.

Le reste du voyage sera consacré à surveiller le nom des prochaines stations. Non loin de ma destination, j’appuie sur le bouton de demande d’arrêt à la prochaine station que je pensais être la gare du RER à 500 mètres de la maison. Miracle, le bus me débarque à 50 mètres de chez moi.

Soulagé, je retrouve mon Nid d’Ecureuil. Il me faudra plus de deux heures pour sentir la pression retomber et m’endormir vers 5:30 du matin, fatigué comme après un vol transatlantique avec ses 6 heures de décalage pour rejoindre Susan.

In desperation, in order to prove my good faith, I show the receipt of the first bus ready to explain to him that the driver of the second bus refused to sell me a ticket. The guy smiles and to my astonishment, even before I give him the slightest explanation, moves on to the next traveller.

The rest of the trip will be spent monitoring the names of the next stations. Not far from my destination, I press the stop request button at the next station that I thought was the RER station 500 meters from the house. Miracle, the bus lands me 50 meters from my home.

Relieved, I find my Squirrel Nest. It will take me more than two hours to feel the pressure drop and fall asleep around 5:30 in the morning, tired as after a transatlantic flight with its 6 hours delay to reach Susan.

()

En attendant mes Dents

16 Septembre 2022

   

De retour à Budapest pour me faire implanter des dents de requin, entre les essayages, je dispose que jours libres, alors je me balade.

Et lorsque l’on est desoeuvré, il reste le shopping. Non pas les fringues, faut laisser ça au sexe dit faible, je suis tombé sur une boutique, juste en face de la Grande Synagogue, boutique qui fait dans le Bizarre, les appareils photo d’occasion. Lors de mon premier séjour j’avais trouvé un KIEV, copie éhonté d’un ZEISS. Faut dire que les Popofs avaient démonté l’usine en prise de guerre et l’avaient remontée en Popovie.

Ils avaient répété la manip sur les LEICA et en avaent sorti deux copies, les ZORKI, ceux-là je les connaissais, mais aussi des FED. L’échoppe avait à la fois du ZORKI et du FED, j’ai craqué.

Et en plus ils fonctionnent, un Miracle.

()

Back in Budapest to have replacement teeth implanted, between fittings, I had days off, so I used them to visit.

And when you feel useless,  shopping is a way to fill the void. Clothing is not my cup of tea, I leave it to the so-called weak sex, I came across a shop, right in front of the Great Synagogue, shop that offers what wierdos love, used cameras. During my first stay I found a KIEV, a shameless copy of a ZEISS. It must be said that the Ruskis had dismantled the factory at the end of WW II and had put it back in Vodkaland.

They did it again on the LEICA factory and manufactured two copies, the ZORKI, this version was known to me, and also the FED. The shop had both ZORKI and FED, so I used my VISA.

And guess what, they work, a Miracle.

Deux FED 3 et Un FED 2

SDNY sort les crocs

15 septembre 2022

 

Moi qui reste collé aux News sur MSNBC, je ferais mieux de lire le NYT, les infos ne sont ni redondantes, ni bidonnées alors que sur les chaînes de News, ils interrompent parfois la pub avec de vraies infos.

Si au niveau fédéral, le Ministère de la Justice bétonne le dossier, le SDNY (Southern District of New York) écrase l’accélérateur. La Procureure, Laetitia James, vient de refuser à la Citrouille une offre de négociation pour convertir au civil les poursuites au pénal. Cerise sur les poursuites, un des gamins sera mis en examen. Si en France on affirme que ça va chier à Landerneau, au Québec, c’est dans le Bas Cul.

OK, je fais ma feignasse, l’article du NYT est en Anglais, je ne me sens pas l’énergie de traduire, tentez ce confier la tâche à Google Translate, même perclus d’erreurs, l’article vaut son pesant de Peanuts.

As I remain glued to the News on MSNBC, I should read the NYT, the news are neither redundant nor fake, while on the News channels, they sometimes interrupt the advertising with real news.

If at the federal level, the DOJ works to make the case unbreakable, the SDNY (Southern District of New York) puts the pedal to the metal. The Prosecutor, Laetitia James, rejects a settlement offerd by the Pumpkin. Cherry on the cake, one of the kids will be indicted. If France says it’s going to make noise in Landerneau, in the US, the poop is about to hit the fan.

Ok, I’m pretending, the NYT article is in English, I don’t need to translate it, you should have an easier access than my French readers.

()

Goddard / Godard

14 septembre 2022

 

Si en matière de conquête spatiale, les US ont fourni Robert Goddard, en matière d’avancées cinématographique, avec la Nouvelle Vague, nous avions Jean-Luc Godard.

A mon grand étonnement, en épitaphe à ce dernier, le NYT aura publié un superbe article, article à la fois éloge et critique. Notre dynamiteur du cinéma méritait les deux aspects de l’article. En tentant de violer les règles du copyright, je vais tenter de le partager avec vous.

If in terms of space conquest, the US provided Robert Goddard, in terms of cinematic advances, with the New Wave, we had Jean-Luc Godard.

To my astonishment, as an epitaph to the latter, the NYT will have published a superb article, both praise and criticism. Our movie blaster deserved both sides of the story. By attempting to violate copyright rules, I will try to share it with you.

Pour lire l’article du NYT, cliquer ici.
Désolé mais l’article est trop long pour que je le traduise.

To read the NYT article, click here.

()

Alcaraz-Tiafoe / US OPEN 2022

10 septembre 2022

 

Pour une fois, pas de politique ou de coup de gueule mais le partage d’un moment épique de Tennis, la demie-finale de l’US Open 2022 qui a opposé Alcaraz à Tiafoe. Durée plus de 5 heures.

Spectacle énorme, deux Gladiateurs, à la fin un mort mais pas de sang, juste l’émotion du perdant qui s’est juré de rejoindre une prochaine fois le sommet d’un grand tournoi.

Au plan technique, j’ai enregistré le match et tenté de le monter et le partager sur YouTube.  Ils ont refusé ce partage au motif qu’il y avait de la Pub qui n’avait pas été monétisée. Donc, je le monte sur mon serveur avec les pubs US in-extenso.

Profitez de ce moment remarquable où un futur Numéro 1 du Tennis est sorti de sa chrysalide.

For once, no politics or lip service but the sharing of an epic moment of Tennis, the half-final of the US Open 2022 which pitted Alcaraz against Tiafoe.

Huge show, two Gladiators, in the end a dead but no blood, just the emotion of the loser who vowed to join the top of a big tournament next time.

Technically, I recorded the game and tried to set it up and share it on YouTube.  They refused this sharing on the ground that there was Pub that had not been monetized. So I mount it on my server with US in-extenso ads. Duration, almost 5 hours.

Enjoy this remarkable moment when a future Tennis Number 1 came out of his chrysalis.

()

A qui le tour

9 septembre 2022

 

Depuis l’annonce du décès de la Reine, les News Channels qui faisaient leurs choux gras de la lente chute de Pinocchio vers son fatal destin, hier 8 septembre, 100% du temps des News Channels y était consacré.

Pour Pinocchio le meurtre de la Reine par l’extrême droite US, voir l’article précédent, est un succès. Enfin presque.

Sur MSNBC, l’émission “The Eleventh Hours” après 30 minutes de larmes de crocodile, aura enfin consacré 15 minutes à un de complices de Pinocchio avant de conclure le reste de l’émission sur le sujet initial.

Since the announcement of the Queen’s death, the News Channels, which were making a fuss about the slow fall of Pinocchio towards his fatal destiny, yesterday, September 8, 100% of the time of the News Channels was devoted to it.

For Pinocchio the murder of the Queen by the far right US, see the previous article, is a success. Well almost.

On MSNBC, the show “The Eleventh Hours” after 30 minutes of politically correct tears, they finally devoted 15 minutes to one of Pinocchio’s  mafioso before concluding the rest of the show on the initial subject.

Première bonne nouvelle.
Le DOJ, Ministère de la Justice, fait appel de la décision de nommer un Special Master. Moi qui espérais que Putaline serait nommé, c’est raté. Mais vu l’importance de la saisie lors de la perquisition, le doute n’est pas permis, l’enquête doit avancer rapidement.

First good news.
The DOJ is appealing the decision to appoint a Special Master. I hoped that Putaline would be appointed, my wish will not come true. But given the importance of the seizure during the search, doubt is not allowed, the investigation must move quickly.

Deuxième bonne nouvelle.
Le réactionnaire corrompu et antisémite Bannon est inculpé pour détournement de fonds. L’inculpation de ce type issu des cercles intimes de Pinocchio montre que l’étau se resserre. 

A qui le tour ?

Second good news.
Corrupt and anti-Semitic reactionary Bannon is charged with embezzlement. The indictment of this mafioso from Pinocchio’s inner circles shows that the noose is tightening. 

Who’s next?

()

Complot de l’extrême droite US

8 septembre 2022

 

Depuis bientôt un mois, en fait depuis la perquisition dans la résidence floridienne de Pinocchio, les chaînes d’info déroulaient à longueur de journée la descente aux enfers de l’Ex.

Depuis MAGA et sa cohorte de fachos US cherchaient désespérément un moyen de détourner l’attention des journalistes procureur du bien-aimé Président. C’est fait, depuis le milieu de l’après-midi, le Buzz a changé de cible.

For almost a month, in fact since the FBI break in the Floridian residence of Pinocchio, the news channels had been covering the slow fall of the Twice Impeached Ex’s toward Hell all day long.

MAGA, in fact the US fascists, was desperately looking for a way to divert the attention of the prosecutor journalists from the beloved President. It’s done, since the middle of the afternoon, the Buzz has changed target.

La diversion avait débuté sur un ton léger, la Reine ne se sentait pas bien, un médecin avait été appelé en consultation.

The distraction had begun in a light tone, the queen was not feeling well, a doctor had been called to see her.

Pourtant, en temps normal, l’attention aurait dû se focaliser sur le Clown et sa périphérie : Bannon, l’ex conseiller de l’Ex vient d’être inculpé pour détournement de fonds. 

Et bien non, l’attention se porte sur la santé de la Reine, sur Bannon et sa Citrouille de référence, rien, Nada, Zilch

However, in normal times, attention should have focused on the Clown and his periphery: Bannon, the ex advisor of the Ex has just been indicted for embezzlement. 

Well no, attention is on the Queen’s health, on Bannon and his reference Pumpkin, nothing, Nada, Zilch

Ne trouvez-vous pas cela suspect ?

En fait, si on ouvre les yeux, la réalité est évidente et deux solutions s’offrent à nous.

Soit il s’agit d’un Fake. Profitant des temps libres que sa démission lui offre, afin de protéger son pote Pinocchio, Boris Johnson a monté avec le MI5, fake dans lequel sont tombés les moutons des chaînes de News. Un suivisme à la hauteur des bobards de Timissoara fin décembre 1989.

Soit le Scoop est bien réel.
Et dans ce cas, Boris Johnson aura profité de la passation de pouvoir au château de Balmoral pour empoisonner la Reine.

Dans tous les cas, force est de constater que l’extrême droite internationale ne recule devant aucune avanie pour voler le pouvoir.

Don’t you find that suspicious?

In fact, if we open our eyes, the reality is obvious and we have two solutions.

Either it’s a Fake. Taking advantage of the free time that his resignation offers him, in order to protect his friend Pinocchio, Boris Johnson rode with the MI5, fake in which fell the sheep of the News channels. A follow-up to the bullshit of Timissoara. Remember the news from Roumania December 1989.

Or the Scoop is real.
And in this case, Boris Johnson will have taken advantage of the transfer of power to the castle of Balmoral to poison the Queen.

In any case, it is clear that the international far right is not backing away from any advance to steal power.

()