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Saint Martin Day/Jour 4

7-8 octobre 2020

  • Balade à la Grande Case suivie d’un moment à la plage.
  • Trip to la Grande Case followed by a moment at the Beach

  • Lors de notre balade vers le Nord-Ouest de l’île, nous avons constaté que les blessures de la tempête Irma (2017) restaient visibles et non encore cicatrisées. Les photos qui suivent ne demandent aucun commentaire.
  • During our tour to the northwest of the island, we found that the wounds of Storm Irma (2017) remained visible and not yet healed. The following photos do not require any comment.
  • Dans cette rue totalement défoncée, rue réputée pour ses restaurants gastronomiques fermés pour cause de très basse saison, nous avons envahi un Bar à Tapas, essence même de la revisitation d’une cuisine éminemment locale, pas locale d’ici, locale d’ailleurs.
  • In this totally rutted street, a street famous for its gourmet restaurants closed due to very low season, we have invaded a Tapas Bar, the very essence of revisiting an eminently local cuisine, not local from here, local elsewhere.
  • Si la Floride est réputée pour ses ponts levis, ici à Sint Maartens, ils en ont aussi.
  • If Florida is famous for its drawbridges, here in Sint Maartens they have them too.

  • Ne soyons pas dépaysés.
  • If Walmart is not present, Carrefour, its counterpart is.
  • Enfin une journée à la plage. Enfin pas une journée, une matinée simplement, cela suffit à nos besoins de farniente.
  • Finally a day at the beach. Well, not a day, just a morning, that’s enough for our idleness needs.
  • Farniente, certes mais pas n’importe où, la vraie plage en bout de piste.
  • Relaxation, of course, but not just anywhere, the real beach at the end of the Run Way.

  • Et après avoir lézardé au soleil, rien ne vaut un petit repas léger arrosé d’un bonne bouteille de Bourgogne Blanc. On ne se refait pas.
  • After a lazy moment on the Beach, nothing tops a light meal with a bottle of White Burgundy. Do not speed: Men at Work fines tripled in case of (Ne)Fast Food attitude.
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Love is not Tourism – 07

6 octobre 2020

  • COVID Championats du Monde : Bureaucratie 0 / Love is not Tourism 1
  • COVID World Series: Bureaucracy 0 / Love is not Toutism 1

Home Sweet Home : premier petit déjeuner / First Breakfast


Face à l’incapacité de la bureaucratie à faire face à ses engagements, Nous avons pris le taureau par les cornes.

Petit rappel de la chronologie :

  • 206 jours que la COVID nous avait séparé.
  • 58 jours que le Secretariat d’Etat au Tourisme annonce la fin de l’embargo des autorisations de réunion pour les couples non mariés.
  • 54 jours que le dossier complet a été reçu par le Consulat de Miami
  • 15 jours que l’administration annonce qu’au plus tard en 7 jours la majorité des dossiers serait traitée.
  • Aujourd’hui notre belle administration est toujours bruyamment silencieuse.

Nous avons donc recherché et trouvé une solution : Saint Martin côté hollandais.
Hier, 5 octobre, Susan et moi, nous nous sommes enfin retrouvés. Et si l’administration ne se réveille pas, nous ne serons ensemble que quatre petites semaines.


Faced with the inability of the bureaucracy to meet its commitments, We we took drastic decisions, in other words find a solution.

Little reminder of the chronology:

  • 206 days since COVID separated us.
  • 58 days since the State Secretariat for Tourism announces the end of the embargo on reunion authorizations for unmarried couples.
  • 54 days since the complete file was received by the Miami Consulate
  • 15 days that the administration announces that at the latest in 7 days the majority of the files would be treated.
  • Today our beautiful administration is still noisily silent.

So we looked for and found a solution: Saint Martin on the Dutch side.
Yesterday, October 5th, Susan and I finally got back together.
And if the administration doesn’t wake up, we’ll only be together for four short weeks.


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Love is not Tourism – 06

4 octobre 2020

La bureaucratie de notre belle France montre sa capacité à ne pas tenir ses promesses. Susan et moi faisons partie des 800 couples binationaux séparés par la COVID qui souhaitent se retrouver ici, en France. Notre dossier a été reçu par le Consulat de Miami qui l’a transmis à l’administration centrale il y a 52 jours. Depuis nous sommes assourdis par le silence de l’administration. Ni refus, ni demande d’information complémentaire, ni, c’est évident, d’acceptation.

Donc, face à cette muette muraille, avec Susan, pour qu’enfin nous nous retrouvions après plus de 200 jours de séparation, nous avons organisé un séjour de quatre semaines à Sint Maartens, l’accueillant côté hollandais de Saint Martin. Lundi 5 octobre sera notre Saint Valentin.

Il va de soit qui si par un Miracle, à ce jour improbable, l’administration me donnait tort en nous transmettant le Laisser-Passer, nous interromprons notre séjour dans l’accueillant Paradis pour revenir immédiatement nous isoler dans notre nid de tranquillité à Bourg la Reine.


The bureaucracy of our beautiful France shows its capability of promises keeping avoidance. Susan and I are one of the 800 bi-national couples separated by COVID who wish to meet here in France. Our file was received by the Consulate and sent to the central administration 52 days ago. Since then we have been deafened by the silence of the administration. Neither refusal, nor request for additional information, nor, it is obvious, acceptance.

So, facing this silent wall, with Susan, in order to finally meet again after more than 200 days of separation, we organized a four-weeks stay in the welcoming Sint Maartens.
Monday October 5 will be our Valentine’s Day.

It goes without saying that if by a most unlikely Miracle, the administration proves me wrong by transmitting the Permit, we will interrupt our stay in the welcoming Paradise to isolate ourselves in our nest of tranquility in Bourg la Reine.

Déni de Réalité / Reality denial

3 octobre 2020

  • Une nouvelle forme de compétition impose-t-elle de nouvelles règles ?
  • Does a new form of competition impose new rules?

Le 2 octobre 2020 la COVID défie, dans un duel totalement nouveau, le futur ex-président des USA dans une toute nouvelle compétition. Cette discipline se nomme le Déni de Réalité. Les règles sont simples : que le meilleur gagne.

Le stade dans lequel se déroule cette toute nouvelle compétition se nomme la Terre.
Les deux compétiteurs sont d’un côté le SARS-COV-2 et de l’autre le champion toutes catégories de l’humanité. Son nom de scène est le Clown de la Maison Blanche.

En ce qui concerne la sélection du premier compétiteur, le Hasard et la Nécessité sont les incontestables ayant droit. Pour la sélection du second, Il convient de remarquer que le processus de sélection du champion de l’humanité a été vicié dès le début. Souvenons-nous que le champion devait-être désigné par un processus démocratique dans lequel le compétiteur obtenant le plus de suffrages devenait de facto notre champion. Le diable se logeant dans les détails, le processus vicié aura désigné le perdant vainqueur.

Le vainqueur aura disposé de trois années pour s’entraîner et ainsi disposer des armes et d’une équipe lui permettant de lutter à armes égales avec le virus. Force est de constater que si le processus de sélection était vicié, le choix ne pouvait être judicieux. Le champion de l’humanité ayant refusé le difficile choix du principe de réalité, il a préféré le dopage. Il vient d’être rattrapé par la patrouille.

Aux Etats Unis, une tournure de phrase permet de condamner ceux qui n’ont pas un comportement socialement responsable. Cette phrase est “when in Rome, do as the Romans do”, qui peut se traduit litérallement par : lorsque vous êtes à Rome, faites comme les Romains. Ces derniers, aux Arènes, lors de combats de gladiateurs, affirmaient Vae Victis, Malheur aux Vaincus.

Or le champion de l’humanité pensait pouvoir s’affranchir des règles de la compétition, il s’est dopé au mensonge. Ce qui devait arriver arriva, le dopage ayant rendu le combat inégal, le champion de l’humanité a perdu ce combat. Désormais déchu de son pied d’estale, il risque de payer le prix fort de son approche négligente et mensongère.

La conclusion du jury est résumée dans la photo en bas de l’article.
La morale est sauve, le meilleur a gagné. Il nous reste à trouver un nouveau champion.


On October 2, 2020, COVID challenges, in a completely new duel, the future ex-president of the USA in a whole new competition. This discipline is called Denial of Reality Contest. The rules are simple, let the best one win.

The stadium in which this brand new competition takes place is called Earth.
The two competitors are on the one hand the SARS-COV-2 and on the other the all-category champion of humanity whose stage name is the Bankrupt Clown of the White House.

When it came to selection of the first competitor, Random and Procrastination  are the undisputed tools that were used. For the selection of the second, It should be noted that the selection process for the champion of humanity was flawed from the start. Let us remember that the champion had to be appointed by a democratic process in which the competitor obtaining the most votes becomes de facto our champion. The devil being lodged in the details, the process designated the loser as the winner.

The winner had three years to train, forge the weapons and select the team to fight on an equal footing with the virus. It is clear that if the selection process was flawed, the choice of the champion could not be judicious. The later, being at the same time lazy and illiterate, the champion of humanity refused the difficult choices linked to the principle of reality, he preferred doping to studying. He has just been caught.

In the United States, a widely used phrase makes it possible to condemn those who do not behave according to the Rule of Law. This sentence is “when in Rome, do as the Romans do”. One of the Roman traditions stated “Vae Victis”, in other words “Woe to the vanquished”.

As the champion of humanity thought he could free himself from the rules of competition, he was doped with lies. What had to happen happened. This unethical attitude gave the virus the upper hand, the champion of humanity lost the fight. He now has to pay the price for his negligent and deceptive approach.

The jury’s conclusion is summarized in the photo at the bottom of the article.
The text says ” At last something positive in Trump”, understand DOPING!
Morality is safe, the best have won. We now have to find a new champion.


Merci Françoise pour cette superbe photo.

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La surprise d’Octobre / October surprise

2 octobre 2020

  • Mauvaises nouvelles, la COVID menace d’éviter au clown de la Maison Blanche les poursuites en escroquerie(s) qui lui pendent au nez dès qu’il aura perdu l’élection à venir.
  • Bad news, COVID threatens to prevent Bankrupt Pinocchio from the lawsuits hanging in his face as soon as he loses the upcoming election.

Deux femmes des cercles présidentiels, Hope Hicks et Melania Trump, ont été testées positives.
À partir des clips vidéo diffusés à la télévision, j’ai remarqué qu’elles partagent un symptôme visible.
Ce symptôme est évident : elles portent des chaussures à talons très hauts.
Statistiquement, les femmes qui ont été testées positives portent ou ont porté des chaussures à talons hauts.
Par conséquent, quoi qu’en disent les pseudo savants disgraciés du CDC,
il est clair qu’il existe un lien entre les talons hauts et la COVID.
Alors méfiez-vous des femmes autour de vous, elles peuvent être contagieuses.

Il y a un problème cependant.
Comme les hommes marchent très rarement avec des talons hauts,
Ils devraient être protégés par l’immunité mentale décrétée par le Merveilleux Président.
Alors pourquoi les hommes ne sont-ils pas protégés contre la COVID ?
Cela prouve la réalité de la conspiration portée par le parti Démocrate qui dit que tous les hommes sont créés égaux.
Si les hommes ont été créés égaux, pourquoi les Democrates corrompus de Washington, ces complices du Communisme anti-américain, conspirent-ils pour infecter les Patriotes du parti Républicain ?
F *** ing communistes-anarchistes-démocrates, ils “Make America Sick Again”.

Messieurs, évitez de porter des talons hauts.
Mais grâce à Dieu, Jésus vous aime et vous protège !


Two women in the presidential circles, Hope Hicks and Melania Trump, have been tested positive.
From the video clips running on TV, I noticed they share a visible symptom.
This obvious symptom is that they wear very high heels shoes.
Statistically women who have been tested positive, wear or have worm high heel shoes.
Therefore, whatever the disgraced Fauci/CDC cronies say,
it is clear that there is a link between high heels and COVID.
So watch women around you, they can be contagious.

I have a problem though.
As Men very seldomly walk in high heels,
They should be protected by the heard mentality.
Then why are men not immune to COVID?
It proves the reality of the Socialist-Dem conspiracy that says that all Men are created equal.
If men were created equal, why do the  Dems, the anti-American Socialists, viciously infect the Republican Patriots.
F***ing Communists-Anarchist-Dems, they Make America Sick Again.

Gentlemen, avoid wearing high heels.
But thank God, Jesus loves you and protects you!


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Le programme de Trump / Trump’s Pledge

1 octobre 2020

  • Une photo qui vaut tous les discours (merci Claude).
    Traduction : “Vos soucis Je n’en ai rien à foutre”
    Cela dit, il est plus que probable qu’il s’agit d’un photo-montage. Malheureusement !
  • A picture is worth a million words.
    If he does not, why should we?
    Unfortunately this most likely a Photoshop job.

  • Et pour conclure le premier foutoir télévisé.
  • And to conclude the first televised mess.

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Bernard Trump / Donald Madoff

29 septembre 2020

  • Deux magnifiques escrocs : lequel est le meilleur
  • Two superb Con Men. Choose the best. (Googlish version below)

Le clown de la Maison Blanche aura réussi à engloutir près de un milliard de dollars en une trentaine d’années. Son complexe de supériorité, lui le meilleur, l’a conduit à la faillite à de nombreuses reprises. Trump est un escroc, il est tentant de lui trouver des prédécesseurs, c’est pourquoi je l’ai associé à un escroc récemment tombé, Bernard Madoff. C’est pourquoi l’article porte le titre de Bernd Trump ou Donald Madoff.

Mais ces deux personnages sont-ils du même tonneau et quelles sont les différences entre ces deux trajectoires ?

Bernard Madoff
Bernd Madoff, par une direction éclairée, a donné au NASDAQ ses lettres de noblesse. Sa position de direction de cette bourse lui a permis de se créer un carnet d’adresse dans un milieu qui ignore les fins de mois difficiles. Une fois le mandat arrivé à son terme, Berd Madoff, devenu expert du marché des HiTech, a monté un fond d’investissement dont les rendements étaient fort attractifs. La société qu’il dirigeait n’était pas cotée en bourse et les sociétés en nom propre permettent une gestion opaque. Les seuls éléments visibles étaient les rendements sur les fonds investis et les rendements servis lui valaient les honneurs de la presse spécialisée.

Toutefois la valeur des actions en bourse reste sujette à des variations cycliques. Madoff prétendait posséder une technique lui permettant de servir des intérêts même lors des cycles baissiers. Pour un investisseurs, il est tentant de penser appartenir à un club d’initiés qui domine les incertitudes. Madoff gardait secret les techniques utilisées, ce qui se comprend, car si sa technique d’investissement était rendue publique, elle pouvait être reproduite et, de fait, elle perdait son exclusivité et donc  son attractivité.

Or si au départ, dans un marché haussier, il est facile de servir un rendement élevé pour le capital investit, lorsque le marché se retourne, continuer à servir des rendements élevés relève soit de la magie, soit de l’escroquerie. En cas de marché baissier, pour verser des dividendes, il faut soit utiliser les réserves provisionnées dans les moments favorables, ce qui est parfaitement légitime et légal tant que les réserves existent, soit se servir du capital ce qui est l’essence même d’une pyramide de Ponzi. Face aux rendements offerts les investisseurs se pressent, les nouveaux capitaux entrants paient les dividendes versés. La pyramide s’effondre dès lors que les investisseurs souhaitent sortir du fond d’investissement et récupérer leur capital qui n’existe plus puisque le capital aura servi à payer les dividendes.

Résultat des courses, un gouffre de 65 Milliards de Dollars US.

Donald Trump
L’enquête publiée par le New York Times, permet de mieux comprendre les aventures financières de Donald Trump. Celles-ci de décomposent en deux périodes qui sont respectivement celles de l’héritage et celle du Reality Show “”The Apprentice”.

Donald semble avoir été le fils préféré de Fred, un crocodile qui fit fortune dans l’immobilier, en particulier en gérant un parc locatif de type HLM adossé à des subventions fédérales. A la différence de la fratrie qui volait de ses propres ailes, Donald assistait son père dans la gestion de l’affaire familiale. Il convient de noter que comme pour Bernd Madoff la gestion de la famille Trump pouvait se dérouler dans la plus totale opacité, la société n’étant pas cotée en bourse.

Dans l’ombre de son père, Donald vivait plus que confortablement. Il rêvait néanmoins de voler de ses propres ailes. Après avoir réussi une opération hôtelière à Manhattan et la construction de la tour Trump, opérations qui mériteraient un éclairage sur les avantages fiscaux obtenus, Trump a voulu passer la vitesse supérieure, créer de toutes pièces un casino ultra luxueux, la Taj Mahal. Parallèlement sa mégalomanie l’a poussé à ouvrir une université, une compagnie aérienne, une vodka, une chaîne de distribution de viande… Chacune de ses entreprises se sont effondrées et l’ont conduit à se placer à plusieurs reprise sous la protection des lois de gestion des faillites.

Afin de purger les dettes, il aura réussi à détourner à son profit l’héritage familial qui aura été quasiment totalement engloutit dans les faillites mentionnées plus haut.

Bilan de la phase UN, une perte de quatre cents millions de Dollar.

La mode des Reality Shows lui aura lancé une bouée, il ne restait quasiment plus rien de l’héritage capté. Son bagout, son sens du spectacle. The Apprentice lui aura rapporté un revenu direct de 170 millons de dollars versé par NBC, la chaîne de diffusion, et plus de 250 millions en revenus dérivés. Si Trump n’avait pas été aveuglé par sa suffisance, la fortune de Trump serait de 1 Milliard de dollars. L’enquête du NYT montre qu’il a emprunté plus de 400 millions de dollars. En supposant que les investissements faits avec cette seconde vague de revenus ont conservé leur valeur, il pourra tout juste payer les sommes qui sont dues.

Alors qui est le meilleur entre Trump et Madoff ?

  • Madoff a créé une fortune sur sa propre valeur. Il l’aura perdu sur une incapacité à affronter la réalité des marchés, aveuglé qu’il était par les promesses faites par un Ego démesuré.
    Taille de l’échec 65 Milliards de Dollars
    Conséquences pénales : 150 années de prison ferme.
  • Trump a volé sa famille en détournant un héritage gaspillé dans les affaires foireuses. Ayant eu droit à une seconde chance pour un montant semblable, les mêmes causes produisant les mêmes effets, l’ensemble a lui aussi été dilapidé.
    Taille de l’échec un peu moins de 1 Milliard de Dollar.
    Conséquences pénales : Restez connectés, la justice devrait entamer son action prochainement.

Au regard des pertes personnelles Trump est un petit joueur.
Si maintenant on remet en perspective le déficit du budget US que ce petit joueur a réussi à creuser, il devient l’incontestable gagnant du plus mauvais gestionnaire.


The clown of the White House will have managed to swallow up nearly a billion dollars in about thirty years. His superiority complex has led him to bankruptcy on numerous occasions. Trump is a con man, it is tempting to find predecessors for him, which is why I linked him to a recently fallen con man, Bernard Madoff. This is why the article bears the title of Bernd Trump or Donald Madoff.

But are these two characters somewhat identical and what are the differences between these two trajectories?

Bernard Madoff
Bernd Madoff, through enlightened leadership, has given NASDAQ its credentials. His position of management of this stock exchange allowed him to create an address book in an environment which has no problems to make ends meet. Once the NASDAQ mandate came to an end, Berd Madoff, who became an expert in the HiTech market, set up an investment fund whose returns were very attractive. The company he headed was not public and the private companies allow opaque management. The only visible elements were the returns on the funds invested. And the returns served earned him the honors of the specialized press.

However, the value of shares on the stock market remains subject to cyclical variations. Madoff claimed to have a technique that allowed him to serve interest even during down cycles. For an investor, it is tempting to think he belongs to an insider club that dominates the uncertainties. Madoff kept the techniques used secret, which is understandable. If his investment technique is made public, it will be reproduced and by losing its exclusivity it loses its attractiveness.

While initially, in a bull market, it was easy to serve a high return on invested capital When the market turns, continuing to serve high returns is either magic or a scam. In a bear market, to pay dividends, you must either use the reserves provisioned at favorable times, which is perfectly legitimate and legal as long as the reserves exist, or use the capital which is the very essence of a Ponzi scheme. Faced with the yields offered, investors enter the magical fund, new incoming capital is used to pay the dividends. The pyramid collapses when investors want to exit the fund and recover their capital which no longer exists since the capital will have been used to pay dividends.

The result of the pyramid is a sinkhole of 65 Billion US Dollars.

Donald trump
The survey published by the New York Times provides a better understanding of Donald Trump’s financial adventures. These break down into two periods which are respectively those of the legacy and that of the Reality Show ” The Apprentice “.

Donald seems to have been the favorite son of Fred, a crocodile who made his fortune in real estate, in particular by managing a rental stock of subsidized housing type backed by federal subsidies. Unlike the siblings who were on their own, Donald assisted his father in running the family business. It should be noted that, as for Bernd Madoff, the management of the Trump family could take place in complete opacity, the company not being public.

In his father’s shadow, Donald lived more than comfortably. He nevertheless dreamed of standing on his own feet. After having successfully completed a hotel operation in Manhattan and the construction of the Trump Tower, operations which deserve to shed light on the tax advantages obtained, Trump wanted to grow big and create from scratch an ultra luxurious casino, the Taj Mahal. At the same time, his megalomania pushed him to open a university, an airline, a vodka, a meat distribution chain … Each of his companies collapsed and led him to place himself on several occasions under the protection of bankruptcy management laws.

In order to purge the debts, he succeeded in diverting to his own profit the family inheritance which has been almost completely swallowed up in the bankruptcies mentioned above.

End of phase ONE, a loss of four hundred million dollars.

The fashion of Reality Shows offered him a life line as there was hardly anything left of the captured inheritance. Using his patter, his sense of spectacle The Apprentice brought him a direct income of 170 million dollars paid by NBC, the broadcaster, and more than 250 million in derived income. If Trump hadn’t been blinded by his smugness, Trump’s fortune would be $ 1 billion. The NYT investigation shows he has borrowed more than $ 400 million. Assuming that the investments made with this second wave of income have retained their value, he will barely be able to pay the sums that are owed.

So who is better between Trump and Madoff?

  • Madoff created a fortune through his own virtues. He will have lost it on an inability to face the reality of the markets, blinded by the promises made by a disproportionate Ego.
    Failure Size 65 Billion Dollars
    Criminal consequences: 150 years in prison.
  • Trump robbed his family by embezzling a wasted heirloom in crappy business. Having been entitled to a second chance for a similar amount, the same causes producing the same effects, the whole was also squandered.
    Size of the failure just under $ 1 billion.
    Criminal consequences: Stay tuned, justice should start its action soon.

In the face of personal losses, Trump is a small player, a noisy loser.
If we now put into perspective the deficit of the US budget that this little player has managed to widen, he becomes the undisputed winner of the worst manager contest.


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Qui est riche / Who’s rich

28 septembre 2020

  • Si l’on mesure notre fortune aux impôts payés, je suis beaucoup plus riche que Trump.
    Vous aussi, je suppose.
  • If we measure our fortune by taxes paid, I’m much richer than Trump.
    You too, I presume.

Français
Hier, le journal de référence, le New York Times, a publié le résultat dune longue enquête. Cette enquête porte les les déclarations de revenu de Corrupt Pinocchio sur les quinze dernières années. Contrairement à la tradition qui s’est imposée depuis la chute de Tricky Dick (Richard Nixon) il a toujours refusé de rendre publiques ses déclarations revenu. Cette publication par le NYT est le résultat de fuites venues des cercles les plus proches.

S’il ne m’est pas possible de vous communiquer l’ensemble de l’article, voici les deux premiers paragraphes. Tout le reste est à l’avenant. Notre presse ne manquera pas de reprendre ces informations.

Donald J. Trump a payé 750 $ d’impôts fédéraux sur le revenu l’année où il a remporté la présidence. Au cours de sa première année à la Maison Blanche, il a payé 750 dollars supplémentaires.

Il n’avait payé aucun impôt sur le revenu au cours de 10 des 15 années précédentes – en grande partie parce qu’il avait déclaré avoir perdu beaucoup plus d’argent qu’il n’en gagnait.

Aucun commentaire n’est nécessaire.
Le spectacle qui va suivre ce pour les uns du Grand Guignol et pour les participants un bon départ vers un confinement forcé. Logé, nourri, blanchi, un bonheur.


Googlish
Yesterday, the leading newspaper, The New York Times, published the result of a lengthy investigation. This investigation covers the income statements of the last fifteen years of Corrupt Pinocchio. Contrary to the tradition which has prevailed since the fall of Tricky Dick (Richard Nixon) he has always refused to make public his income statements. This publication by the NYT is the result of leaks from the nearest circles.

If it is not possible for me to give you the whole article, here are the first two paragraphs. Everything else is to match.

Donald J. Trump paid $750 in federal income taxes the year he won the presidency. In his first year in the White House, he paid another $750.

He had paid no income taxes at all in 10 of the previous 15 years — largely because he reported losing much more money than he made.

No comment is necessary.
For some, the show that will follow will be a reenactment of the Rocky Horror Picture Show. For the participants a good start towards forced confinement.
Housed, fed, laundered, a pure moment of happiness. Be ready for what is ahead.

Lock them up!


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USA / Autocracy

27 septembre 2020


Français
Madame Madeleine Albright nous avait prévenu il y a déjà quatre années. A cet effet, elle publiait un livre de réflexions : Fascism a Warning. De mon côté, si j’espérais que le multi-failli, une fois arrivé à la présidence, prendrait conscience des responsabilités liées à la charge, j’avais surtout la conviction qu’il serait incapable d’exercer le pouvoir dans le cadre de la vertu des mécanismes démocratiques.

L’histoire, pardon l’Histoire, montre que mes craintes étaient justifiées. Démission des élites conservatrices, corruption des institutions et délits d’initiés, doubles discours et mensonges d’état permanents auront ponctué les quatre dernières années. L’avant dernier épisode, la nomination d’un juge dans les derniers instants d’une présidence détruit deux cents années de traditions. Cette tradition non écrite interdisait la nomination d’un juge à la Cour Suprême dans les derniers moments d’une présidence. En mettant en avant cet argument, la droite conservatrice avait interdit à Barack Obama de présenter, dès le mois de mars 2016 soit plus de 10 mois avant l’élection de novembre, le juge Merrick Garland. Quatre années plus tard, cette argumentation est oubliée, piétinée. Par leur double discours et la falsification des traditions, les conservateurs devenus populistes ouvrent les portes à la destruction de la Démocratie. Désormais l’Amérique n’est plus ce qu’elle était, les graines de la dictature fasciste ne demandent qu’à pousser. A la fin du XIXième siècle la France aura offert à l’Amérique la Statue de la Liberté. Ce cadeau ayant perdu son lien symbolique avec la réalité, devrons-nous demander prochainement son retour en Europe ?

Il ne reste plus qu’à espérer que la prochaine élection chassera sans aucune ambiguïté le triste clown que désormais je nomme Donaldo Trumpolini qui copie avec un certain talent un exemple italien arrivé au pouvoir par un viol des institutions. (Voir le clip en bas de page)


Googlish
Mrs Madeleine Albright warned us four years ago. She then published a book of reflections: Fascism a Warning. For my part, one one hand I hoped that the multi-bankrupt, once in charge, would become aware of the responsibilities linked to the position. On the other hand, I was above all convinced that he would be unable to exercise power within the framework of the virtue of democratic mechanisms.

History, capital H, shows that my fears were justified. Resignation of conservative elites, corruption of institutions and insider trading, double talk and permanent State lies have punctuated the last four years. The penultimate episode, the appointment of a judge in the last moments before the presidential election, destroys two hundred years of tradition. This unwritten tradition prohibited the appointment of a judge to the Supreme Court in the last moments of a presidency. By putting forward, in 2016 this argument, the conservative right has banned Barack Obama from presenting, from March on, more than 10 months before the November election, judge Merrick Garland. Four years later, this argument is forgotten, trampled on by the same people. By their double speech and the falsification of traditions, the conservatives have become populists, they open the doors to the destruction of Democracy. Today, America is not what it used to be. The seeds of the fascist dictatorship are just waiting to grow. At the end of the 19th century, France offered America the Statue of Liberty. This gift having lost its symbolic link with reality, will we soon have to ask for its return to Europe?

All that remains is the hope that the next election will unambiguously kick Corrupt Pinocchio and his cronies out the circles of power. He should now be named Donaldo Trumpolini as he impersons with a certain talent an Italian example who came to power through a rape of institutions in the early 1920.


https://www.youtube.com/watch?v=CfS8AulsYRk

Et souvenez vous comment ce dictateur aura terminé sa course.

And remember how this dictator ended his life.

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Stupid Rand Paul vs The Fauci the Hulk

26 septembre 2020

Bien que médecin (ophtalmo) le sénateur Rand Paul est un imbécile.
Il prend des risques avec sa santé et son image en ratiocinant des conneries.

La preuve en images parodiques.

La preuve brute de décoffrage.

Comment remettre un connard à sa place. Merci Dr Fauci.

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