Fin novembre 2018
Avec l’ami Jean-Claude, à mon retour de Floride, nous avons pris date pour le traditionnel Aïoli au Restaurant du Cercle de Jonquières. Aïoli de référence servi pour 15.50€ dessert compris. L’avant veille une des vitres de son auto ayant été fracturée, pour cause de réparation ce vendredi matin, nous avons changé notre fusil d’épaule et rdv fut pris aux Coquillages du Roy René.
Habituellement dans cet écailler nous nous régalons de fruits de mer. Mais ce vendredi ils proposent un AÏoli pour 28.50€ soit près de deux fois le prix de celui de Jonquières.
Pourquoi pas mais il reste à vérifier si le jeu en vaut la chandelle.
- Cher mais copieux et joliment servi.
- Poisson de qualité, légumes cuits « Al Dente », je préfère plus cuit mais cela se discute.
- Traditionnellement au cœur du plat se trouve l’aïoli. Celui-ci relève les composants disposés dans l’assiette.
Un vrai aïoli est une sorte de mayo dans laquelle on intègre une purée d’ail.
Aujourd’hui ce n’est pas le cas. - Aujourd’hui le truc livré dans le bol, à gauche, est un truc pour pucelle anémique qui se prépare à un bal des débutantes et rêve d’embrasser le prince charmant.
Une vulgaire mayo insipide et sans goût, aucun, nada, zilch, rien, plat fade. Aïoli raté.
Une addition de plus de 40€ pour un Aïoli insipide et deux verres de vin blanc, j’ai la certitude m’être fait avoir. L’excuse d’un nouveau cuistot, excuse proposée par le chef de rang, est irrecevable, le patron ne fait pas son boulot.
La récidive est interdite, pour les plateaux de fruits de mer je retourne chez Toinou.

Désormais Susan sait ce que « Délices Gastronomiques » signifient.
Après avoir vécu les affres prolétariennes d’un changement de robinet pour cause initiale de fuite intraitable, un deuxième robinet semblable fut acquis et monté par le prolo de service. Ce dernier, le robinet, pas le prolo, bien que neuf, fuyait aussi mais différemment. Un troisième fut donc commandé et mis en place subito.
Afin de calmer les humeurs bellico-revendicatrices de la classe laborieuse, un apéro-dînatoire fut promptement organisé par le patronat : un petit coup de blanc aura poussé un pot de Caviar Béluga vers des toasts, étape nécessaire pour un transit harmonieux. Fallait bien ça pour que la Gôche Caviar retrouva ses couleurs.
Une Vespa dans un jus remarquable.
Une moto NSU d’avant guerre.
Enfin un truc du début du siècle précédent, un cycle
Etonnant
Bizarre, il manque un truc.
Un groupe qui ne refuse pas l’Echec.
Deux Folles un rien bariolées.
Enfin, dans l’extravagant, une cavalière joliment montante.