La deuche se gare au pied du musée. | |
Voila pour la plaque commémorative. | |
Dans le hall d'exposition de l'usine se trouve désormais le musée Auburn Cord Dusenberg. Pierre et moi sommes comme des gosses dans un magasin de confiseries. Vous trouverez le lien vers le site du musée en cliquant ici. |
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La
densité de l'exposition des trois marques issues de la
même société me fait penser au musée Schlumpf et sa section Bugatti. Une mise en scène parfaite. |
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Pierre prend un pose rêveuse, assis sur le marche-pied d'une Dusenberg modèle J, le chassis le plus abouti. | |
La même vue d'en haut. Le coffre bateau était très à la mode. |
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Les
anciens designers étaient des gens sages. Cette Auburn
permet de placer, loin du conducteur, les momes ou les
belles-mères dans le siège arrière, hors de
l'habitacle et de portée de mes oreilles. Le lancinant "C'est quand qu'on arrive" est enfin loin derrière nous. Une sagesse oubliée que j'aimerai pouvoir faire revivre. |
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Un peu de technique. La Cord aura été avec la Citroën la première traction avant produite en série. Ici l'on voit le moteur accouplé à une boite à commande électrique, l'énergie venant d'une pompe à vide. |
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La commande est faite depuis le un petit commutateur placé sur une potence placée à droite, sous le volant, à l'image de ce qui se faisait en France avec la boite Cotal. | |
A titre personnel, j'ai un hénaurme faible pour les Cord et leur côté avant-gardiste pour l'époque. Toutes les photos ne sont pas montrées, ce serait lassant. Si vous voulez toutes les photos, dites le moi, je vous fournis le lien mais faites attention, nous en sommes déja à plus de mille photos archivées. |
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Nous
serions bien partis, chacun, avec une des voitures du hall
d'exposition,
mais la seule qui nous était accessible était une Auburn
des débuts, semblable à la Ford Modèle T,
modèle peu adapté à la vague de froid qui, en ce
10 Novembre 2014, pointe le museau pour les jours à venir. Nous avons donc repris notre Deuche pour retourner à l'hôtel, les yeux pleins de merveilles inaccessibles. Mais grâce à ce musée, elle restent vivantes, visibles, parfaitement réelles. Merci Aaron, "Curator" de ce superbe Musée et pour ce moment passé ensemble à parler chiffon, pardon parler bagnole. |