21 octobre 2022
Dans mon premier article sur Liz Truss, l’arrogante nouvelle venue qui se voyait en Thatcher bis, je me moquais de sa première et prévisible baffe, à savoir réduire les impôts des riches.
Dans les pas de Pinocchio la Citrouille, elle chantait la rengaine du progrès de tous par la réduction de l’impôt des riches. Cette fois les réactionnaires anglais ont compris que, ce faisant, ils prenaient le chemin d’une défaite électorale.
La presse anglaise souvent pue du bec, merci Maxwell, parfois elle fait preuve d’humour. Cette fois elle met sur le même plan une Laitue et la Première Ministre. Après s’être interrogé pour savoir si après sa connerie, la Truss survivrait la Laitue, le couperet est tombé, la Laitue est encore consommable, la Truss a pris la porte.
Si seulement les électeurs US, pour les élections de mi-mandat bottaient le cul des nervis fascistes qui relèvent la tête.
In my first article on Liz Truss, the arrogant new commer who saw herself as Thatcher bis, I made fun of her first predictable slap in the face, which was a predictable reaction to cut taxes for the rich.
In the footsteps of Pinocchio the Pumpkin, she sang the song of progress of all by reducing the tax of the rich. This time the English reactionaries understood that in doing so they were on the road to electoral defeat.
The English press often goes lower than anyone could imagine, thank you Maxwell, sometimes the Press gives an occasion to smile. This time the Press puts on the same level a Lettuce and the Prime Minister. After wondering if after her bullshit, the Truss would survive the Lettuce, the shit hit the fan, the Lettuce is still good to go, the Truss is kicked out the door.
If only the US voters, for the mid-term elections, would kick the asses of the fascist nervis who are raising their heads.